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Camus en 1949

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Références sur demande

Janvier
1er. Alger. Lettre à Maria Casarès
2. Alger. Lettre à Maria Casarès
3. Alger. Lettre à Maria Casarès 
5. Alger. Télégramme à Maria Casarès 
9. Lettre à Béatrix Dussane, actrice, sociétaire de la Comédie française
15. Paris.  Lettre à Jean Grenier.  Il parle de l’échec de L’État de siège. « L’insuccès a été total. La critique, à deux ou trois exceptions près, a été féroce. (…) La pièce vient de quitter l’affiche après 23 représentations. » Cet échec est peut-être dû à son soutien à Garry Davis, citoyen du monde,  qui a suscité le rejet et des communistes et des gaullistes. « Allez vous y retrouver. » 
31. Au site du gouvernement républicain espagnol en exil au 35 avenue Foch, Paris, Camus est nommé Commandeur de l’Ordre de la libération de l’Espagne.

Février
 Texte : Hommage à Madeleine Renaud dans la revue Caliban no. 30, dirigée par Jean Daniel. 
9. Paris. Camus signe avec 15 autres personnes une lettre de la section française des Groupes de Liaisons Internationales à l’ambassadeur d’Espagne pour demander la suspension de la condamnation à mort du syndicaliste espagnol Enrique Marco Nadal (dans la lettre, Enrice Marcos Nadal). Finalement condamné à 30 ans de prison, il sera libéré en 1964.
9. « Brief von Albert Camus » Die Tat
9. Lettre à Robert Schuman, Ministre des Affaires étrangères de la France, pour demander la suspension de la condamnation à mort du syndicaliste espagnol Enrique Marco Nadal.

Enrique Marco Nadal (1913-1994)

12. Radiodiffusion de l’hommage à Madeleine Renaud  
16. Lettre à Janine et Michel Gallimard. « Je me suis fixé à remettre à mon exploiteur contractuel cinq volumes avant mon départ en Amérique du Sud. C’est-à-dire La Corde (Les Justes), pièce en 5 actes, L’Homme révolté, essai en 250 pages, un volume d’essais critiques, un volume d’essais politiques, un volume d’essais littéraires sur la Méditerranée. »
21. Bristol sous enveloppe à Maria Casarès pour  sa « pendaison de la crémaillère. »
26. Pour sauver dix intellectuels grecs. Appel de Camus et André Breton dans Combat

Mars
– Avant-propos et Manifeste constitutif des « Groupes de Liaison Internationale » dans le Bulletin d’information des Groupes de Liaison Internationale.
4. Lettre à la radio nationale afin de corriger une nouvelle erronée, diffusée dans l’émission L’Envers du décor, qui affirmait que Camus avait vendu, pour une grosse somme d’argent, ses droits sur La Peste à un éditeur américain.
6. Il prend l’avion pour Londres afin d’assister à la première londonienne de Caligula.
7. Londres. Lettre à Maria Casarès. Il habite au Basil Street Hotel, Knightsbridge, London. 
8. Camus assiste, à Londres, à la première de Caligula. 
9. Camus quitte Londres pour retourner à Paris.
9. Camus signe une lettre avec Pierre Blanchar, Gabriel Audisio, Jean Amrouche et Raoul Celly adressée à des intellectuels algériens sollicitant leurs conseils sur la manière de composer un film  » non touristique  » sur l’Algérie.
14. La dernière publication de Camus dans Combat. Une lettre de protestation : Seuls les simples soldats trahissent. Une lettre d’Albert Camus et de René Char. 
17. Paris. Lettre à Louis Guilloux. « J’ai fini la première version de La Corde (premier titre de Les Justes). Cinq actes. Et russe en diable… Naturellement, je ne sais pas ce que ça vaut. » 
21. Paris. Télégramme à Jean Grenier qui habite Le Caire. 
22. Lettre à Marcel Thiébaut, critique littéraire
24. Paris. Lettre adressée au ministre de la guerre de la Grèce, Panayoti Kanellopoulos, pour demander d’éviter la peine de mort à dix intellectuels grecs. À côté de Camus, André Breton, René Char,  Raymond Queneau et Jean-Paul Sartre ont signé cette missive. 
28. Paris. Lettre à Georges Vitaly, directeur du Théâtre de la Huchette, à Paris.

Avril
– René Char et Albert Camus fondent une revue : Empédocle. Y collaborent : Jean Grenier et Louis Guilloux
–  Le meurtre et l’absurde. Texte publié dans le premier numéro de la revue littéraire Empédocle. Il s’agit d’une version de l’introduction de L’Homme révolté.
14. Lettre à Maurice Zundel, prêtre et théologien catholique suisse
15. Lettre à Gilbert Walusinski, membre du Groupe de Liaisons Internationales.
17. Lettre à Michi Kataoka au sujet de la traduction de La Peste 
25. Paris. Lettre à Jean Grenier. « Ce n’est pas ce qu’on croit vrai qui vous aide à vivre. J’ai peur d’être le fou selon Épicure. Vous vous souvenez : le fou est celui dont la vie recommence tous les jours. » 
30. Diffusion sur les ondes de la pièce radiophonique Les Silences de Paris. Collaborateurs : Nicole Vedrès, Pierre Capdevielle (musique), Paul-Louis Mignon (production) et Maurice Cazeneuve (réalisation)

Mai
1er. Camus demeure dans le Vaucluse jusqu’au 10 mai. 
11. Paris. Lettre à Louis Guilloux 
13. Lettre à Margarita Xirgu, actrice et metteure en scène latino-américaine d’origine catalane.

Federico Garcia Lorca et Margarita Xirgu (1888-1969)

19. Paris. Lettre à Jean Grenier 
23. Paris. Télégramme à Louis Guilloux

Juin
– Texte sur L’Enracinement de Simone Weil dans le Bulletin de la NRF
 Lettre à « Caliban » dans le numéro 28 de la revue dirigée par Jean Daniel. 
2. Lettre à Francine Camus. « J’ai vu Le Malentendu avec émotion. C’est la pièce qui me ressemble le plus. »
13. Lettre à Ernesto Sabato, écrivain argentin, à propos de son premier roman Le Tunnel.
13. Lettre à Margarita Xirgu, actrice et metteure en scène latino-américaine d’origine catalane.
13. Lettre à Victoria Ocampo, femme de lettres et éditrice argentine. Il l’informe de son prochain voyage en Amérique du Sud mais, aussi, qu’il n’ira pas en Argentine à cause de l’interdiction de représentation de sa pièce, Le Malentendu.

Victoria Ocampo (1890-1979), fondatrice de la revue Sur


16. Paris. Lettre à Gabrielle Mineur, employée de l’Ambassade de France au Brésil pour l’informer de ses intentions lors de son prochain voyage en Amérique du Sud.
23. Avec son ami Robert Jaussaud, trajet en voiture de Paris à l’Isle-sur-la-Sorgue au domaine de Palerme où se trouve sa femme et ses enfants.
24. L’Isle-sur-la-Sorgue, Palerme. Lettre à Maria Casarès. « Et pour le moment cet amour n’est que brûlure et emportement. »  
26. L’Isle-sur-la-Sorgue, Palerme. Lettre à Maria Casarès 
27. L’Isle-sur-la-Sorgue, Palerme. Suite de la lettre du 26 juin à Maria Casarès
30. Camus quitte la France pour le Brésil. Il s’embarque sur le Campana à Marseille après une course effrénée dans sa Desdémone (nom de l’auto de Camus) avec son copain Robert Jaussaud. 
30. Télégramme à Maria Casarès 

Juillet
– Dialogue pour le dialogue (interview)  dans le numéro 10 de Défense de l’Homme
1er. Sur le Campana. « À deux reprises, idée de suicide.(…) Je crois que je comprends maintenant comment on se tue. » 
1er. Lettre à Maria Casarès. « Ce qui rend tout difficile c’est ton silence et les paniques qu’il m’apporte. Je n’ai jamais pu supporter tes silences que ce soit celui-ci ou ces autres, avec ton front buté, et ton visage verrouillé, toute l’hostilité du monde rassemblée entre tes sourcils. »  Ceci expliquant, peut-être, le paragraphe précédent.
3. Sur le Campana. «…je lis le Journal de Vigny où beaucoup de choses m’enchantent, sauf son côté cygne constipé. »
5. Sur le Campana. Lettre à Maria Casarès 
6. Sur le Campana. Escale à Dakar. « Quelques heures seulement, mais je retrouve l’odeur de mon Afrique, odeur de misère et d’abandon, odeur vierge et forte aussi, dont je connais la séduction. » 
6. Sur le Campana. Lettre à Maria Casarès – suite de la lettre du 5 juillet 
10. Sur le Campana. Traversée de l’Équateur 
14. Sur le Campana. Lettre à Maria Casarès.« Je suis parti (de Paris) complètement égaré, avec le cœur tordu, et des douleurs à crier. Il me semblait que j’étais couvert de plaies, je ne savais plus où me cacher et où m’abriter. J’attendais que le bien me vienne de toi puisque le mal m’en était venu. » 
15. Sur le Campana. Arrivée à Rio. Un tourbillon d’activités attend Camus.
15. Déjeuner avec l’écrivain Anibal Machado. Remarques sensibles sur les favelas de Rio. 
16. Rio de Janeiro. Déjeuner culturel suivi d’une promenade dans Rio avec Barleto. 
16. Il assiste  à une macumba (cérémonie afro-brésilienne) au village de Caxias, à 40 km de Rio. « Le but, c’est la transe (…) c’est le mélange de la religion catholique et des rites africains.» 
17. Rio de Janeiro. Il parcourt les montagnes entourant Rio avec Lucien Fèvre, historien français. 
17. En soirée, avec Abdias do Nascimento, un acteur noir,  il va dans un quartier noir, pour y voir danser la samba. Indifférent. 
17. Lettre à Maria Casarès. « Celui-là n’a pas aimé  qui n’a pas rêvé d’une prison perpétuelle pour celle qu’il aime. »
18. Rio de Janeiro. Visite des banlieues ouvrières : Meier, Todos os Santos, Madeidura. 
18. Dîner chez Robert Claverie 
19. Rio de Janeiro. « Diner chez les Chapass avec le poète national Manuel Bandeira… »

Manuel Carneiro de Sousa Bandeira (1886-1968)

19. Après dîner : il écoute Kaïmi, un Noir, qui compose toutes les sambas que chante le pays. 
20. Rio de Janeiro. En canot automobile dans la baie de Rio. 
20. Visite du poète Murilo Mendès.
20. En soirée, conférence dans une salle de 800 places, surpeuplée. 
21. Départ en avion pour Recife. «J’aime Recife, décidément. Florence des Tropiques, entre ses forêts de cocotiers, ses montagnes rouges, ses plages blanches. » 
22. Recife. Visite de la ville.  « Je rentre, abruti par la grippe. »
23. Bahia. « Bahia, où l’on ne voit que des Noirs, me semble une immense casbah grouillante, misérable, sale et belle. »
24. Bahia. Dîner chez le consul
24. Il assiste à un candomblé, cérémonie religieuse.
24. Lettre à Janine et Michel Gallimard : « Le Brésil ? Gazomètres et cocotiers, voilà une définition. » 
25. Avion de Bahia à Rio de Janeiro. Camus, furieusement grippé.
26. Rio de Janeiro. Il assiste à la représentation d’un acte de Caligula. « Bizarre de voir ces Romains noirs. » 
27. Rio de Janeiro. Déjeuner avec le poète Murilo Mendès. 
27. Lettre à Maria Casarès. « Voilà une lettre bien folle, mon chéri. Mais je te dis à la fois mon doute et mon espoir. Comprends seulement que mon espoir ne repose que sur toi. » 
28. Rio de Janeiro. Réception à l’ambassade. « Ce que j’ai refusé toute ma vie avec obstination, je l’accepte ici – comme si j’avais d’avance consenti à tout dans ce voyage dont je ne voulais pas. »
29. Rio de Janeiro
30. Térésopolis, dans les montagnes à 90 km au nord de Rio de Janeiro. 

À Térésopolis avec, de gauche à droite, Yvonne Perririn, Jeannette Besse, Camus (travesti) et Yvette Petitjean devant la Casa da Usina où résidait Camus.

31. Teresopolis. En soirée, retour à Rio de Janeiro.
 
Août
1er. Rio de Janeiro. Conférence sur Chamfort. « J’apprends que le Brésil ignore la peine de mort. »
1er. Visite d’une favela accrochée au-dessus de la plage d’Ipanema. 
2. Vol Rio-Sao Paulo.Camus, déprimé : « Ce qui m’est apparu clairement hier, et enfin, c’est que je désirais mourir. » 
3. Sao Paulo. Diner avec Oswald de Andrade, poète et romancier brésilien.
3. Sao Paulo. Lettre à Maria Casarès
4. Sao Paulo. Conférence de presse 
4. Visite d’un pénitencier
4. Conférence Le temps des meurtriers 
4. Lettre à Maria Casarès. « Ce dont je ne te parle pas, tu le connais, c’est le déchirement où nous sommes, la souffrance de faire souffrir, l’impuissance à rendre heureux ce qu’on aime le plus au monde. » 
5. Départ pour les fêtes religieuses d’Iguape (à 200 km. au sud-ouest de Sao Paulo). Une expédition de 14 heures de routes cahoteuses et poussiéreuses. Arrivée à Iguape à minuit.
6. Iguape. C’est à Iguape que l’on retrouve un phénomène qui s’appelle La Pierre qui pousse qui inspirera à Camus sa nouvelle, La Pierre qui pousse. 
6. Interview  publié dans le  Diario de Sao Paulo. « René Char est le plus grand événement dans la poésie française depuis Rimbaud. »
7. Départ d’Iguape pour Sao Paulo. Arrivée en soirée. 
8. Sao Paulo. Conférence et concert de chant. 
8. Lettre à René Char 
8. Lettre à Maria Casarès
9. Départ pour Porto Alegre en avion. Conférence
10. Départ pour Montevideo, Uruguay. Camus, toujours déprimé : « Obligé de m’avouer que, pour la première fois de ma vie, je suis en pleine débâcle psychologique. (…) C’est l’enfer, d’une certaine manière, que cette dépression. » 
11. À Montevideo. Visite de la ville 
11. En soirée, départ en bateau pour Buenos Aires.
11. Lettre à Maria Casarès 
12. Buenos Aires. Il est hébergé chez Victoria Ocampo, femme de lettres et éditrice argentine de la revue Sur
13. San Isidro, Argentine. Chez Victoria Ocampo, qui dirige en Argentine la revue Sur, il rencontre les exilés espagnols Maria Teresa Leon et le poète Rafael Alberti.
14. Buenos Aires. Vol de nuit pour Santiago au Chili. Camus s’installe à l’hôtel Crillon. 
14. Buenos Aires. Il rencontre Rafael Alberti, poète et dramaturge espagnol. 
14. Buenos Aires. Lettre à Maria Casarès
15. Santiago, Chili. Conférence sur la littérature française contemporaine à l’Instituto chileno-francès de cultura. 
16. Santiago, Chili.  Conférence  : Le temps des meurtriers  à l’Université du Chili. 
16. Lettre à Maria Casarès 
16. « Dîner à l’ambassade, emmerdant comme le déluge. » 
17. Santiago, Chili. Émeute dans la ville.  Conférence à l’Université : Un moraliste de la révolte : Chamfort
18. Santiago, Chili. Visite de la région. 
19. Départ de Santiago en avion pour Buenos Aires puis vers Montevideo. 
20. Montevideo, deux conférences. 
20. Il rencontre José Bergamin, dramaturge espagnol et antifranquiste farouche.
21. Montevideo-Rio de Janeiro. « Stupidité de ces voyages en avion – moyen de locomotion barbare et rétrograde. » 
21. Rio de Janeiro. Lettre à Maria Casarès
22. Rio. Conférence
23. Rio. Déjeuner à Copacabana
24. Rio. Visite d’une institution  psychiatrique 
25. Rio. Visite du jardin zoologique
26. Rio. Grippé
26. Télégramme à Maria Casarès
27. Rio. Grippé
28. Rio
29. Rio. Télégramme à Maria Casarès
30. Rio
31. Rio-Paris en avion. « Le voyage se termine dans un cercueil métallique entre un médecin fou et un diplomate, vers Paris. »
 
Septembre
6. Lettre à Jean Grenier
7. Il part pour rejoindre sa femme et Catherine dans le Vaucluse.
7. Il téléphone à Maria Casarès 
8. Vaucluse
9. Vaucluse. Lettre à Maria Casarès 
10Voyage du Vaucluse à Le Panelier, Mazet-Saint-Voy, Haute-Loire. Il y rejoint son fils Jean. 
11. Le Panelier, Mazet-Saint-Voy, Haute-Loire. Lettre à Maria Casarès
11. Paris. Avec Jean Grenier au restaurant Le Catalan, rue des Grands-Augustins.  Date contestée.
11. Le Panelier, Mazet-Saint-Voy, Haute-Loire. Suite de la lettre à Maria Casarès du 10 septembre.
13. Le Panelier, Mazet-Saint-Voy, Haute-Loire. Lettre à Maria Casarès
16. Le Panelier, Mazet-Saint-Voy, Haute-Loire. Promenade en auto sur les plateaux du Mézenc. 
16. Lettre à Maria Casarès. 
17. Le Panelier, Mazet-Saint-Voy, Haute-Loire. Lettre à Maria Casarès
19. Le Panelier, Mazet-Saint-Voy, Haute-Loire. Lettre à Maria Casarès 
22. Le Panelier, Mazet-Saint-Voy, Haute-Loire. Lettre à Maria Casarès 
23. Le Panelier, Mazet-Saint-Voy, Haute-Loire. Lettre à Maria Casarès
26. Lettre à S.C. (correspondant inconnu, serait-ce l’énigmatique Suber Cajeaux (voir 12 juin 1951).
30. Paris. Lettre à Roger Martin du Gard. 

Octobre
19. Lettre à Nicola Chiaromonte

Novembre
4. Rédaction d’un court texte consacré au directeur de théâtre Jacques Hébertot. Il est paru, initialement, dans un programme de théâtre.
6. Camus commence une thérapie médicamenteuse contre le retour agressif de sa tuberculose. « Strepto(mycine) – 40 grammes. »
7. Albert Camus a 36 ans.
7. Paris. Lettre à René Char. « Une rechute de ma vieille maladie. Six semaines à l’horizontale et puis ce seront des mois de montagne. Le retranchement est difficile. »
7. Paris. Lettre à Jean Sénac
8. Lettre à René Lalou. «  je suis entré au groupe Combat en 1943 (…) je n’ai jamais touché une arme… Au sujet de Sartre : Je trouve à Sartre le plus grand et le plus persuasif des talents, mais ses livres n’ont jamais eu la moindre influence sur moi pour la raison fort simple que nos climats sont incompatibles. Du point de vue de l’art, disons seulement que le ciel du Havre n’est pas celui d’Alger. »
9. Lettre à René Lalou. « Je ne crois pas qu’adhérer au mouvement de Garry Davis soit le seul moyen d’éviter le retour de la peste… »
17. Paris. Lettre à Louis Guilloux
29. Paris. Lettre à Louis Guilloux
 
Décembre
2. Lettre à Jean-Pierre Millecam à propos de sa pièce Adhémar s’évade.
14. Jour de la générale de Les Justes au Théâtre Hébertot à Paris. 
14. Lettre à Maria Casarès. « …dans cette nuit qui est la nôtre. » 
15. Création de Les Justes au Théâtre Hébertot dans une mise en scène de Paul Oettly. Avec Maria Casarès, Michèle Lahaye, Serge Reggiani, Michel Bouquet, Yves Brainville, Jean Pommier, Paul Oettly, Moncorbier et Louis Perdoux. Décor et costumes de De Rosnay. Camus assiste à la première.
15. Lettre à Maria Casarès

Les Justes au Théâtre Hébertot : Albert Camus, Maria Casarès, Serge Reggiani

16. Lettre à Jean Sénac
16. Lettre à Maria Casarès
17. Lettre à Maria Casarès écrit sur une carte de visite 
18. Lettre à Maria Casarès 
20. Lettre à Maria Casarès 
21. Lettre à Maria Casarès, suite de la lettre du 20 décembre 
23. Lettre à Maria Casarès 
25. Lettre à Maria Casarès écrit sur une carte de visite